Une grande diversité d’activités maritimes

Le territoire du GALPA Côte Basque – Sud Landes présente de nombreuses infrastructures portuaires.

• 1 port de commerce de Bayonne à l’embouchure de l’Adour
  • 4 communes : Anglet, Bayonne et le Boucau dans le 64, Tarnos dans le 40,
  • 9ème port français et 2nd d’Aquitaine,
  • Trafic estimé à 550 navires/an et 2 602 433 tonnes,
  • 56 entreprises implantées,
  • 3 500 emplois directs et indirects,
  • 530 millions d’€ d’impact économique
  • Seul port titulaire d’une triple certification Qualité (ISO 9001) – Sécurité (OHSAS 18001) – Environnement (ISO 14001).

• 6 ports de plaisance
  • Capbreton-Hossegor, Anglet, Biarritz, Guéthary, Saint-Jean-de-Luz / Ciboure et la Nivelle, Hendaye,
  • 2 zones de mouillage, dans la baie de Saint-Jean-de-Luz / Ciboure et de Txingudi,
  • 2 300 postes à flot.

• 2 sites d’escales privilégiés pour les navires de croisière
  • Baie de Saint-Jean-de-Luz / Ciboure et Bayonne,
  • 7 navires et 4 567 passagers accueillis en 2015.

L’économie touristique est importante sur le territoire du GALPA Côte Basque – Sud Landes. Elle est caractérisée par :

• De nombreux atouts engendrant une forte attractivité touristique,
• Une fréquentation très saisonnière, principalement estivale,
• Un chiffre d’affaires et la création d’emplois directs et indirects très importants,
• Une concentration de l’activité sur le littoral.

Le secteur de la glisse est particulièrement développé sur le territoire du GALPA Côte Basque – Sud Landes. Pionnier du surf en France dans les années 50, le territoire a vu se développer l’industrie du surf dans les années 80.

Aujourd’hui, sur le territoire, ce secteur d’activité est structuré avec :

• 1 cluster de la glisse EuroSIMA, regroupant 180 entreprises, intervenant sur un marché pesant plus de 13 milliards d’€,
• 300 entreprises dans ce secteur d’activité.

L’activité de pêche est viscéralement liée à l’histoire du territoire Côte Basque – Sud Landes. Après une période de crise dans la seconde moitié des années 2000, la filière pêche locale s’est redressée.

Aujourd’hui, cette activité représente :

• Un peu plus 150 navires de pêche dont les deux tiers sont exploités à partir d’un port du territoire basco-landais,
• Une production de poissons débarquée sous la criée de Saint-Jean de-Luz / Ciboure avoisinant les 11 000 tonnes,
• Une valeur de la première mise en marché sous criée oscillant entre 30 et 33 millions d’€,
• Une forte dépendance aux apports de merlu,
• Entre 250 et 260 emplois directs de marins en mer,
• Entre 340 et 500 emplois indirects et induits à terre,

Sur 36 criées françaises, la criée de Saint-Jean-de-Luz / Ciboure est :

• Au 5ème rang national en termes de valeur générée,
• Au 6ème rang national en termes de produits débarqués,
• 1ère criée de Nouvelle Aquitaine,
• 1ère criée nationale en termes de débarquements de merlu.

Du fait de nombreuses contraintes hydrodynamiques (houle, courant…), océanographiques (température et qualité de l’eau) et démographiques, le développement de le développement de l’aquaculture marine est peu appropriée sur le territoire Côte Basque – Sud Landes. On y retrouve toutefois deux activités aquacoles.

La ferme marine de l’Adour à Anglet (64), seule exploitation d’élevage de poissons marins d’Aquitaine

• Membre du groupe Stolt Sea Farm,
• Production de 235 tonnes de sole de 300 à 400 g exportées en Galice,

Une activité ostréicole sur le Lac d’Hossegor

• Unique point d’élevage d’huîtres dans les Landes,
• Activité traditionnelle pratiquée depuis plus de 120 ans,
• Six ostréiculteurs,
• 100 à 120 tonnes annuelles.